Ce dimanche 26 mars, il fallait y croire ; la veille au soir, Il pleuvait et les météos locales se contredisaient pour le lendemain. Le doute s’installait...
Un coup de fil à Alain s’impose : Il est optimiste. Me revient alors en mémoire ce proverbe cafiste lu dans une ancienne revue du club (!) : « Quand Alain y va, le grain s’en va. »
Nous voilà donc partis sous un ciel encore bien chargé à Annecy.
Et le proverbe s’est à nouveau montré pertinent !
Cheval noir en arrière plan
La neige, pas si sèche, provoque des bottes qu'il faut se résoudre à racler... avant le pas du loup
Au-delà, ça chaufffe vraiment dans le dernier mur, plein sud
Il y a si peu de neige par endroit que la sieste est tentante...
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Le loup a dû rentrer dans sa tannière...
En quelques heures, nous avons vécu un brusque changement de saison...
Au final, une bien belle randonnée !